Les soldes chez vous, c'est comment?
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trini
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LAGAFFE
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Les soldes chez vous, c'est comment?
voilà les soldes arrivent,et les ennuies aussi.
Car en plus du picking dans les rayons (cela fait des trous béant par endroit ,mais temporairement je n'en doute pas ),nous voilà avec 4 palettes de soldes .
Du coup on ne sait plus ou donner de la tête entre les soldes et la Rdc.
L'esprit jubile!!!!
Car en plus du picking dans les rayons (cela fait des trous béant par endroit ,mais temporairement je n'en doute pas ),nous voilà avec 4 palettes de soldes .
Du coup on ne sait plus ou donner de la tête entre les soldes et la Rdc.
L'esprit jubile!!!!
LAGAFFE- Messages : 3
Date d'inscription : 02/04/2011
Localisation : ouest
Les soldes ......côté vendeuses
Copier/coller d'un Article généraliste que j'ai trouvé sur yahoo à cette adresse ....
http://fr.pourelles.yahoo.com/mode/les-soldes%E2%80%A6-c%C3%B4t%C3%A9-vendeuses-blog-434-yahoo-pour-elles.html
Les soldes… côté vendeuses
Une ambiance tendue d’un côté, festive de l’autre : car au même moment les soldes se préparent dans tous les magasins de France pour le plus grand plaisir des consommateurs. Quel impact sur la vie des vendeuses ? Nous leur avons demandé.…
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Posté par Yahoo! Pour Elles, mar. 21 juin 2011
Alors que les médias relatent le récent suicide d’un directeur de FNAC, les détails de l’affaire révèlent la découverte d’une lettre dans laquelle l’homme rit ouvertement du concept de « bien-être au travail », le qualifiant de « fumisterie ». Une ambiance tendue d’un côté, festive de l’autre : car au même moment les soldes se préparent dans tous les magasins de France pour le plus grand plaisir des consommateurs. Quel impact sur la vie des vendeuses ? Nous leur avons demandé.
« Le pire job de ma vie »
Hélène est aujourd’hui interprète. Mais cette grande brune a expérimenté d’autres voies professionnelles pendant ses études. Il y a dix ans, elle a travaillé comme vendeuse et s’en souvient encore : « Le pire job de ma vie, c’était en 2001. J’ai fait un CDD comme hôtesse-vendeuse chez C&A à Montparnasse, l’année du passage à l’euro. Je devais être habillée en noir / blanc / rouge, porter un badge avec mon prénom, avoir les cheveux attachés et sourire. La journée, je devais aider des clients qui me parlaient comme à un chien, et le soir justifier des écarts de caisse monstrueux. La responsable ne cessait pas de me dire : ‘’Mais comment c’est possible d’avoir de tels écarts de caisse ?’’, mais certains clients payaient en francs, je devais leur rendre la monnaie en euros alors que je ne connaissais pas les billets, d’autres payaient une partie en bons d’achats, un autre en chèque, une autre en devises étrangères… et je devais encaisser les clients à toute vitesse pour éviter qu’ils ne râlent, tout en retirant les antivols et en plaçant leurs vêtements dans des sacs. Le tout pour le SMIC ! J’ai fini par aller me cacher dans la réserve, les derniers jours, avant d’être licenciée… »
Être vendeuse, une expérience darwinienne
Stéphanie, elle, adore son travail de manager de rayon dans une enseigne de prêt-à-porter sur les Grands Boulevards, à Paris. Sauf pendant les soldes ! « Mon job est intéressant, j’encadre une petite équipe de vendeurs, je veille à la tenue des objectifs… Mais pendant les soldes, on se transforme tous en petits soldats-plieurs de linge ; on court derrière les clients qui défont nos belles piles pour les refaire derrière eux ». Même constat pour Sindalla, jeune vendeuse débutante dans une boutique de vêtements dégriffés à Lyon: « Le mythe de la cliente folle-dingue pendant les soldes, je l’ai vérifié ! Les filles qui s’arrachent les vêtements… Mais les clients hommes ne sont pas mieux, ils sont aussi prêts à se battre ». Stéphanie confirme : en six ans d’expérience professionnelle, elle a finit par prendre du recul et se transformer en sociologue darwinnienne : « Dans un magasin, le plus sauvage survit. Par exemple, le moins aimable sera remboursé alors que la cliente timide, on va la faire attendre en se disant qu’elle ne risque pas de faire un scandale… »
Des chiffres et des caisses
Mais au-delà de la lassitude et du stress (« Tous les matins, j’affiche un énorme panneau en salle de pause avec les chiffres de l’année d’avant, du jour d’avant et de l’année en cours, pour voir si nous tenons les objectifs » relate Stéphanie, sans même se rendre compte de la pression que cela représente pour ses équipes) des douleurs physiques se font sentir. Aïssa, vendeuse depuis trois ans en région PACA, tend ses mains : taper sur la caisse huit heures par jour a finit par lui donner des ampoules et des tendinites : « J’ai un BTS, je voulais devenir vendeuse car j’adore la mode. Je m’imaginais conseiller des clientes, pas me faire crier dessus quand je n’ai pas la bonne taille… Les premières années, j’étais consciencieuse. Maintenant, tout ce qui m’obsède c’est le chiffre de commission que je vais avoir. Je dois accompagner les clientes à la caisse et si j’encaisse « un seul article », ça fait chuter le panier moyen. Je dois à tout prix lui vendre un article supplémentaire ; cirage pour chaussures, ceinture, petit gilet assorti… Aujourd’hui, je suis « conseillère de vente » mais en réalité, je fais du réassort et de la caisse. Je ne conseille personne ».
Cauchemars et autres maladies de la vente
Les vendeuses confient toutes que ce malaise les suit jusque dans leur sommeil. La nuit, leur subconscient travaille et prend le relais. « Toutes les nuits, je rêvais que j’étais en caisse et je refaisais les mouvements du travail à la chaîne malgré moi » se souvient Hélène. Sindalla s’endort en rêvant de centaines de tee-shirts qui tournent autour de sa tête et Aïssa murmure en se couchant : « Merci, au revoir… merci, au revoir… merci, au revoir… » à force de l’avoir répété toute la journée. « En théorie, nous avons des pauses, mais pendant les soldes chacun y met du sien, on est une équipe » explique Stéphanie, qui a bien appris sa leçon au séminaire des managers, l’an dernier. « Même si évidemment, du coup en période de solde, je n’ai plus de vie sociale » concède la jeune-femme. Soldes ou pas, la loi prévoit une pause de 20 minutes minimum toutes les six heures de travail. Hélène rit jaune en se souvenant qu’elle n’avait pas le droit de quitter son poste pour se rendre aux toilettes, « j’en ai attrapé des infections urinaires là-bas, et des angines en travaillant au rayon enfants, à l’entrée devant la porte ouverte, pendant les soldes d’hiver ».
Pas de vie sociale, pas de droit social
Sindalla confirme : « Pendant les soldes, je refuse toutes les invitations à sortir et je laisse mon fils chez mes beaux-parents, car je rentre trop tard pour pouvoir m’occuper de lui. Je travaille le samedi, le dimanche, je ne prends pas de pause déjeuner ». Pour déjouer la loi, qui détermine un temps de travail hebdomadaire maximum, le dimanche n’est pas officiellement travaillé, mais compté en heures supplémentaires à la fin du mois, sans la majoration normalement prévue, donc. « Ca me fait perdre de l’argent, mais c’est ça ou rien » soupire Sindalla, qui a déjà alerté l’Inspection du travail par courrier : « Moi, si je compte les heures jusqu’à la fin des soldes, il en reste plusieurs centaines ». Les petits arrangements avec le Code du Travail sont légion, comme pour Stéphane, 35 ans, qui vient d’enchaîner cinq CDD : « Le magasin respecte exactement le délai de carence entre chaque contrat, je ne peux pas exiger de CDI » constate le jeune homme, un brin fataliste. Certains magasins de prêt-à-porter ou d’alimentaire n’hésitent pas à carrément bafouer les règles les plus élémentaires, comme Carrefour, récemment condamné pour non-respect du SMIC.
Aliénation par le travail ?
Karl Marx reconnaîtrait ici le phénomène d’aliénation par le travail, définit ainsi : « quand [le travailleur] ne s’affirme pas mais se nie, ne se sent pas à l’aise, mais malheureux, ne déploie pas une libre activité physique et intellectuelle, mais mortifie son corps et ruine son esprit [au travail] ».
Les clientes peuvent souhaiter bon courage à leurs « camarades-vendeuses » pour cette période de soldes…
Marlène Schiappa © Pampa Presse
NB Les prénoms ont été modifiés à la demande des intéressés
http://fr.pourelles.yahoo.com/mode/les-soldes%E2%80%A6-c%C3%B4t%C3%A9-vendeuses-blog-434-yahoo-pour-elles.html
Les soldes… côté vendeuses
Une ambiance tendue d’un côté, festive de l’autre : car au même moment les soldes se préparent dans tous les magasins de France pour le plus grand plaisir des consommateurs. Quel impact sur la vie des vendeuses ? Nous leur avons demandé.…
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Posté par Yahoo! Pour Elles, mar. 21 juin 2011
Alors que les médias relatent le récent suicide d’un directeur de FNAC, les détails de l’affaire révèlent la découverte d’une lettre dans laquelle l’homme rit ouvertement du concept de « bien-être au travail », le qualifiant de « fumisterie ». Une ambiance tendue d’un côté, festive de l’autre : car au même moment les soldes se préparent dans tous les magasins de France pour le plus grand plaisir des consommateurs. Quel impact sur la vie des vendeuses ? Nous leur avons demandé.
« Le pire job de ma vie »
Hélène est aujourd’hui interprète. Mais cette grande brune a expérimenté d’autres voies professionnelles pendant ses études. Il y a dix ans, elle a travaillé comme vendeuse et s’en souvient encore : « Le pire job de ma vie, c’était en 2001. J’ai fait un CDD comme hôtesse-vendeuse chez C&A à Montparnasse, l’année du passage à l’euro. Je devais être habillée en noir / blanc / rouge, porter un badge avec mon prénom, avoir les cheveux attachés et sourire. La journée, je devais aider des clients qui me parlaient comme à un chien, et le soir justifier des écarts de caisse monstrueux. La responsable ne cessait pas de me dire : ‘’Mais comment c’est possible d’avoir de tels écarts de caisse ?’’, mais certains clients payaient en francs, je devais leur rendre la monnaie en euros alors que je ne connaissais pas les billets, d’autres payaient une partie en bons d’achats, un autre en chèque, une autre en devises étrangères… et je devais encaisser les clients à toute vitesse pour éviter qu’ils ne râlent, tout en retirant les antivols et en plaçant leurs vêtements dans des sacs. Le tout pour le SMIC ! J’ai fini par aller me cacher dans la réserve, les derniers jours, avant d’être licenciée… »
Être vendeuse, une expérience darwinienne
Stéphanie, elle, adore son travail de manager de rayon dans une enseigne de prêt-à-porter sur les Grands Boulevards, à Paris. Sauf pendant les soldes ! « Mon job est intéressant, j’encadre une petite équipe de vendeurs, je veille à la tenue des objectifs… Mais pendant les soldes, on se transforme tous en petits soldats-plieurs de linge ; on court derrière les clients qui défont nos belles piles pour les refaire derrière eux ». Même constat pour Sindalla, jeune vendeuse débutante dans une boutique de vêtements dégriffés à Lyon: « Le mythe de la cliente folle-dingue pendant les soldes, je l’ai vérifié ! Les filles qui s’arrachent les vêtements… Mais les clients hommes ne sont pas mieux, ils sont aussi prêts à se battre ». Stéphanie confirme : en six ans d’expérience professionnelle, elle a finit par prendre du recul et se transformer en sociologue darwinnienne : « Dans un magasin, le plus sauvage survit. Par exemple, le moins aimable sera remboursé alors que la cliente timide, on va la faire attendre en se disant qu’elle ne risque pas de faire un scandale… »
Des chiffres et des caisses
Mais au-delà de la lassitude et du stress (« Tous les matins, j’affiche un énorme panneau en salle de pause avec les chiffres de l’année d’avant, du jour d’avant et de l’année en cours, pour voir si nous tenons les objectifs » relate Stéphanie, sans même se rendre compte de la pression que cela représente pour ses équipes) des douleurs physiques se font sentir. Aïssa, vendeuse depuis trois ans en région PACA, tend ses mains : taper sur la caisse huit heures par jour a finit par lui donner des ampoules et des tendinites : « J’ai un BTS, je voulais devenir vendeuse car j’adore la mode. Je m’imaginais conseiller des clientes, pas me faire crier dessus quand je n’ai pas la bonne taille… Les premières années, j’étais consciencieuse. Maintenant, tout ce qui m’obsède c’est le chiffre de commission que je vais avoir. Je dois accompagner les clientes à la caisse et si j’encaisse « un seul article », ça fait chuter le panier moyen. Je dois à tout prix lui vendre un article supplémentaire ; cirage pour chaussures, ceinture, petit gilet assorti… Aujourd’hui, je suis « conseillère de vente » mais en réalité, je fais du réassort et de la caisse. Je ne conseille personne ».
Cauchemars et autres maladies de la vente
Les vendeuses confient toutes que ce malaise les suit jusque dans leur sommeil. La nuit, leur subconscient travaille et prend le relais. « Toutes les nuits, je rêvais que j’étais en caisse et je refaisais les mouvements du travail à la chaîne malgré moi » se souvient Hélène. Sindalla s’endort en rêvant de centaines de tee-shirts qui tournent autour de sa tête et Aïssa murmure en se couchant : « Merci, au revoir… merci, au revoir… merci, au revoir… » à force de l’avoir répété toute la journée. « En théorie, nous avons des pauses, mais pendant les soldes chacun y met du sien, on est une équipe » explique Stéphanie, qui a bien appris sa leçon au séminaire des managers, l’an dernier. « Même si évidemment, du coup en période de solde, je n’ai plus de vie sociale » concède la jeune-femme. Soldes ou pas, la loi prévoit une pause de 20 minutes minimum toutes les six heures de travail. Hélène rit jaune en se souvenant qu’elle n’avait pas le droit de quitter son poste pour se rendre aux toilettes, « j’en ai attrapé des infections urinaires là-bas, et des angines en travaillant au rayon enfants, à l’entrée devant la porte ouverte, pendant les soldes d’hiver ».
Pas de vie sociale, pas de droit social
Sindalla confirme : « Pendant les soldes, je refuse toutes les invitations à sortir et je laisse mon fils chez mes beaux-parents, car je rentre trop tard pour pouvoir m’occuper de lui. Je travaille le samedi, le dimanche, je ne prends pas de pause déjeuner ». Pour déjouer la loi, qui détermine un temps de travail hebdomadaire maximum, le dimanche n’est pas officiellement travaillé, mais compté en heures supplémentaires à la fin du mois, sans la majoration normalement prévue, donc. « Ca me fait perdre de l’argent, mais c’est ça ou rien » soupire Sindalla, qui a déjà alerté l’Inspection du travail par courrier : « Moi, si je compte les heures jusqu’à la fin des soldes, il en reste plusieurs centaines ». Les petits arrangements avec le Code du Travail sont légion, comme pour Stéphane, 35 ans, qui vient d’enchaîner cinq CDD : « Le magasin respecte exactement le délai de carence entre chaque contrat, je ne peux pas exiger de CDI » constate le jeune homme, un brin fataliste. Certains magasins de prêt-à-porter ou d’alimentaire n’hésitent pas à carrément bafouer les règles les plus élémentaires, comme Carrefour, récemment condamné pour non-respect du SMIC.
Aliénation par le travail ?
Karl Marx reconnaîtrait ici le phénomène d’aliénation par le travail, définit ainsi : « quand [le travailleur] ne s’affirme pas mais se nie, ne se sent pas à l’aise, mais malheureux, ne déploie pas une libre activité physique et intellectuelle, mais mortifie son corps et ruine son esprit [au travail] ».
Les clientes peuvent souhaiter bon courage à leurs « camarades-vendeuses » pour cette période de soldes…
Marlène Schiappa © Pampa Presse
NB Les prénoms ont été modifiés à la demande des intéressés
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
Un lutrin livre qui tombe sur un orteil. On nettoie le sang, on met un pansement et on repart. Puis on boite trop. L'orteil est bleu. Finalement, quelques heures après, on fait venir un médecin. Le CDV est arrêté au moins une semaine. Ce que j'ai entendu aujourd'hui ? "Pauv chochotte" et "Il n'a rien". L'a probablement raté son année scolaire, le CDV en alternance, mais bon...
L'esprit jubile, les palettes "solde", "OP poche", la RDC, et tout le tintouin rendent les mouvements en log dangereux. L'esprit jubile ! Le garçon avait gentiment accepté de décaler sa pause pour aider ses collègues féminines, le voilà catalogué "tire-au-flanc".
L'esprit jubile, les palettes "solde", "OP poche", la RDC, et tout le tintouin rendent les mouvements en log dangereux. L'esprit jubile ! Le garçon avait gentiment accepté de décaler sa pause pour aider ses collègues féminines, le voilà catalogué "tire-au-flanc".
Amaz- Messages : 221
Date d'inscription : 26/03/2010
Localisation : Sud-ouest
Ce qui est sympathique aussi...
... c'est quand on te demande de replier des OP qui marchent très bien, quelque soit le secteur, pour en mettre d'autres à la place (soldes, par exemple...) Les fonds de rayons débordent déjà et la réserve aussi, mais bon... On redéménage tout pour la Nième fois, chutes de marchandises, chutes de cartons (pleins, c'est plus drôle), les produits s'abîment et les clients finissent par tout négocier : "L'emballage est un peu rayé, vous me faites un prix". On se croirait dans un vide-grenier !
Invité- Invité
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
De toute façon, il y a trop d'op. A croire qu'ils touchent une prime à chaque fois qu'ils nous pondent une op là haut. Ca devient grotesque. Mais bon, eux ils s'en fichent. Leur popotin ne bougera pas du fauteuil.
hirondelle- Messages : 112
Date d'inscription : 30/04/2010
Localisation : Laponie
Pour les OP
La première chose qu'on apprend en "école de commerce" c'est que placer des OP à toutes les sauces donne une image très négative de l'enseigne type GIFI, la Foirfouille.
Mais bon, cela a du charme de bouger des tonnes de produits chaque jours pour mettre une OP là, puis le lendemain ici, etc etc.
Mais bon, cela a du charme de bouger des tonnes de produits chaque jours pour mettre une OP là, puis le lendemain ici, etc etc.
Dernière édition par Jubil974 le Ven 24 Juin - 10:02, édité 1 fois
Jubil974- Messages : 11
Date d'inscription : 01/04/2011
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
Ha oui effectivement, ça me rappelle un de mes cours ça....
hirondelle- Messages : 112
Date d'inscription : 30/04/2010
Localisation : Laponie
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
Je pense qu'ils nous prennent la haut pour des robots, la reserve qui déborde, les palettes de soldes qui attendent encore en reserve tellement il y en a en mag, pour couronner le tout on nous envoie des palettes de soldes des entrepots, plussssssssssssssss la toute petite RDC qui est pas trop lourde à mettre en place et surtout n'oublez pas soyez passeur d'envie!!!!!!!!!!!!!!!!! il y a rien qui choque en haut?????? vous réalisez ou pas?????
trini- Messages : 34
Date d'inscription : 01/04/2010
hihi!
Imaginez seulement la même chose avec un nouveau logiciel et un gros dégât des eaux...l'OP poche a pris une claque...lol!
Krakos- Messages : 13
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
salut
a force de faire des produits d'appels,on a la clientèle que l'on mérite!
trop d'OP montre que l'on ne fait que du "petits prix" autant enlever le fond de rayon et de mettre que des OP
le problème dans tout cela c'est que les rayons ne voit pas le commerce de la même façon.
quand on fait des OP toute l'année sur le livres le PLA et la Video,les rayons comme l'EDL doivent s'aligner et mettre des petits prix car sinon les clients n'achètent pas...
rappelez vous des ARCHOS 5 et 7 qui ont fini par être soldés a des prix inférieurs que le prix du marché.
résultats,des produits petits prix partout donc oui ca ressemble a une grosse solderie et c'est pour cela que les clients négocient pour des détails ou quand leurs achats dépassent les 100€...
c'est dommage car il y a des gens au SC qui ont envie d'innover mais ne le peuvent pas a cause de la politique petits prix de la société...c'est pas demain que l'on aura des IPAD 64Gb...
@+
a force de faire des produits d'appels,on a la clientèle que l'on mérite!
trop d'OP montre que l'on ne fait que du "petits prix" autant enlever le fond de rayon et de mettre que des OP
le problème dans tout cela c'est que les rayons ne voit pas le commerce de la même façon.
quand on fait des OP toute l'année sur le livres le PLA et la Video,les rayons comme l'EDL doivent s'aligner et mettre des petits prix car sinon les clients n'achètent pas...
rappelez vous des ARCHOS 5 et 7 qui ont fini par être soldés a des prix inférieurs que le prix du marché.
résultats,des produits petits prix partout donc oui ca ressemble a une grosse solderie et c'est pour cela que les clients négocient pour des détails ou quand leurs achats dépassent les 100€...
c'est dommage car il y a des gens au SC qui ont envie d'innover mais ne le peuvent pas a cause de la politique petits prix de la société...c'est pas demain que l'on aura des IPAD 64Gb...
@+
zangief- Messages : 249
Date d'inscription : 28/02/2010
Localisation : ...
OP = soldes ?
Je n'ai moi-même rien a priori contre les OP, mais elles posent en effet certains problèmes, notamment le fait que nombre de clients les confondent avec les soldes ou les petits prix.
C'est le cas des OP poches, parce qu'elles sont mises en place grosso modo à l'époque des soldes d'hiver ou d'été, et parce qu'elles sont présentées dans nos fameux box en carton qui permettent de mettre plus de livres (en quantités et en références) que les tables, mais qui font un peu cheap, et donc laissent penser que les livres sont soldés...
Cela nous oblige à passer une partie de nos journées à expliquer que non, les livres ne sont pas soldés, que pour l'achat de deux poches dans une même collection, un poche leur sera offert dans la collection correspondante et dans une certaine sélection...
De manière générale, oui aux OP, à condition qu'elles aient pour but de vendre, et pas seulement de paraître dynamiques en brassant un maximum d'air.
C'est le cas des OP poches, parce qu'elles sont mises en place grosso modo à l'époque des soldes d'hiver ou d'été, et parce qu'elles sont présentées dans nos fameux box en carton qui permettent de mettre plus de livres (en quantités et en références) que les tables, mais qui font un peu cheap, et donc laissent penser que les livres sont soldés...
Cela nous oblige à passer une partie de nos journées à expliquer que non, les livres ne sont pas soldés, que pour l'achat de deux poches dans une même collection, un poche leur sera offert dans la collection correspondante et dans une certaine sélection...
De manière générale, oui aux OP, à condition qu'elles aient pour but de vendre, et pas seulement de paraître dynamiques en brassant un maximum d'air.
Malesherbes- Messages : 7
Date d'inscription : 30/06/2011
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
Moi je dis, autant faire comme dans les discounts, on ne sort plus les articles des cartons. On enlève juste une face et on pose ça direct en rayon. Après tout, là haut ils ne peuvent pas aimer le produit culturel pour le traiter comme ils le traitent depuis quelques temps, alors autant aller au bout de la déchéance et de la médiocrité.
hirondelle- Messages : 112
Date d'inscription : 30/04/2010
Localisation : Laponie
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
Comment expliquer alors que certains magasins les aient eu ?zangief a écrit:
c'est dommage car il y a des gens au SC qui ont envie d'innover mais ne le peuvent pas a cause de la politique petits prix de la société...c'est pas demain que l'on aura des IPAD 64Gb...
Mouffette789- Messages : 46
Date d'inscription : 16/04/2011
Localisation : Cultura City
Re: Les soldes chez vous, c'est comment?
les avoir c'est bien mais ensuite il faut les vendre!
quels magasins les a eus?
vu la pauvreté en matiere de mobiliers,on ne peut pas mettre vraiment en avant les ipod sans s'en faire voler...
donc certains gros magasins qui ont les nouveau mobiliers,les autres...
ensuite avoir des IPAD 1 alors que les autres enseignes ont la 2eme génération...qui à l'air con dans ce cas?
@+
quels magasins les a eus?
vu la pauvreté en matiere de mobiliers,on ne peut pas mettre vraiment en avant les ipod sans s'en faire voler...
donc certains gros magasins qui ont les nouveau mobiliers,les autres...
ensuite avoir des IPAD 1 alors que les autres enseignes ont la 2eme génération...qui à l'air con dans ce cas?
@+
zangief- Messages : 249
Date d'inscription : 28/02/2010
Localisation : ...
Et la fin d'année, chez vous, c'est comment ???
La question centrale étant : renforts or not renforts ??? Je ne vois pas comment mon magasin pourra passer la fin d'année, puis l'inventaire, avec des équipes dans un tel état de fatigue...!
Invité- Invité
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